Bio
Né en 1970 à Homs, Najah Albukai étudie successivement aux Beaux-Arts de Damas, puis aux Beaux-Arts de Rouen. Il retourne ensuite vivre en Syrie où il enseigne le dessin et se consacre à ses créations.
Enfermé et torturé à plusieurs reprises entre 2012 et 2015 à Damas, au centre 227 - celui des services de renseignements syriens - il assiste aux pires horreurs.
Il arrive à s’échapper, à rejoindre le Liban, et arrive en France en 2017.
À travers ses illustrations, il s’emploie aujourd’hui à restituer la réalité de l’enfer carcéral.
Pensionnaire à la Casa Velasquez de Madrid en 2021-2022.
Bio
Né en 1970 à Homs, Najah Albukai étudie successivement aux Beaux-Arts de Damas, puis aux Beaux-Arts de Rouen. Il retourne ensuite vivre en Syrie où il enseigne le dessin et se consacre à ses créations.
Enfermé et torturé à plusieurs reprises entre 2012 et 2015 à Damas, au centre 227 - celui des services de renseignements syriens - il assiste aux pires horreurs.
Il arrive à s’échapper, à rejoindre le Liban, et arrive en France en 2017.
À travers ses illustrations, il s’emploie aujourd’hui à restituer la réalité de l’enfer carcéral.
Pensionnaire à la Casa Velasquez de Madrid en 2021-2022.